Lesserviettes de plage Arty absorbantes et sĂ©chĂ©es rapidement sont trĂšs douces et absorbantes grĂące Ă  leur fil de coton fin, ce qui les rend plus rapides que les serviettes traditionnelles Grande et compacte - Dimensions : environ 180 x 100 cm et poids seulement 270 g, nƓuds faits Ă  la main, 18 options de couleur, dimensions compactes et petites, compagnon pratique au 1 Les limites que l'auteur donne au Fouta-Djallon sont celles du royaume thĂ©ocratique Ă  son apogĂ©e vers 1870. Le pouvoir des Almamys s'Ă©tendait: au nord jusqu'Ă  la Gambie et au Niokolo (SĂ©nĂ©gal) Ă  l'ouest les Almamys avaient Ă©tabli une sorte de protectorat sur les royaumes cĂŽtiers de GuinĂ©e : DubrĂ©ka. Rio Pongo. Lafouta est Ă  la mode, remplaçant aisĂ©ment l’éternelle serviette en Ă©ponge. Ce grand drap de bain en coton a donc dĂ©trĂŽnĂ© la serviette en Ă©ponge par ses multiples atouts. TrĂšs tendance sur les plages et trĂšs apprĂ©ciĂ©e pour ses qualitĂ©s incontournables, lĂ©gĂšre, rĂ©sistante, elle est multiusage. 30% de seaqualÂź dans cette Aujourdhui les foutas sont disponibles dans toutes les tailles et il en existe de toutes sortes (en microfibre, pur coton, coton biologique, tissu-Ă©ponge), avec divers motifs et broderies, et en plusieurs coloris (multicolore, gris-clair, fuchsia, anthracite, taupe, ocre, turquoise, violet, etc.) : fouta Ă  rayures ou avec franges, fouta nid d’abeille, fouta tissĂ©e Ă  plat, fouta Leterme fouta, ou foutah ( ÙÙÙˆŰ·ÙŽŰ© ), peut dĂ©signer une espĂšce de caleçon, de turban, une Ă©toffe qu'on place sur le dos ou encore un linge ou un tablier qu'on attache Ă  sa ceinture. Cette Ă©toffe est typique de la culture maghrĂ©bine Étymologie [ modifier | modifier le code] Dịch VỄ Hỗ Trợ Vay Tiền Nhanh 1s. 1Dans la logique de la pensĂ©e occidentale, la parole, bien que premiĂšre dans l’ordre de l’apprentissage, est peu considĂ©rĂ©e en ce sens qu’elle ne serait pas apte Ă  fonder la vĂ©ritĂ© en raison prĂ©cisĂ©ment de sa faiblesse Ă  prĂ©server et Ă  conserver, avec exactitude dans la durĂ©e, le contenu d’un Ă©noncĂ©. Ainsi, la parole serait mineure relativement Ă  l’écrit. Cette position fut Ă  l’origine d’une classification sociale qui accorda Ă  certaines sociĂ©tĂ©s non occidentales, une spĂ©cificitĂ©, l’oralitĂ©. 1 CALVET, La tradition orale, Paris, 1984, p. 125. 2Ainsi en Afrique, un continent oĂč l’oralitĂ© est omniprĂ©sente quant Ă  la maĂźtrise des savoirs et Ă  la transmission du patrimoine des groupes sociaux, l’écriture est dite absente. Alors, le dire est ce qui inscrit le message dans la durĂ©e et les paroles acquiĂšrent donc la qualitĂ© de la trace, d’oĂč l’affirmation de Louis-Jean Calvet1 ici, les paroles restent, verba manent ». 3Mais cette parole qui reste, qui s’incruste, qui rĂ©siste Ă  l’Ɠuvre du temps, n’est jamais qu’une mĂ©moire orale ; elle renvoie toujours Ă  des formes matĂ©rielles, Ă  des signes, supports de ce verbe oral dĂ©notant ainsi la production de traces signifiantes qui ne sont pas perçues comme Ă©tant une manifestation de l’écriture. Toute affirmation d’une absence d’écriture africaine paraĂźt donc lĂ©gitime. Mais d’oĂč nous vient cette lĂ©gitimitĂ© ? 4Son origine est historiquement et idĂ©ologiquement dĂ©terminĂ©e ; une dĂ©termination qui demeure actuelle car le clivage civilisation orale/civilisation Ă©crite est maintenu. Ainsi est Ă©tablie une diffĂ©renciation gĂ©ographique. On le sait, l’Afrique appartient Ă  l’espace de l’ora- litĂ© tandis que l’Occident sans oublier pour autant l’Asie et le monde arabe relĂšve de celui de l’écrit. Toutefois, l’oralitĂ© persiste en Europe et l’écrit s’accroĂźt considĂ©rablement en Afrique malgrĂ© de faibles taux de scolarisation. Son essor y est d’autant plus croissant que l’on serait tentĂ© de soutenir l’absence de la dichotomie ici Ă©noncĂ©e. De fait, l’utilisation, dans les espaces dits de l’oralitĂ©, de l’alphabet latin et du systĂšme de transcription propre au monde occidental, attestent d’une existence de l’écrit en ces lieux. Cependant, il ne saurait ĂȘtre question, pour cette raison, de parler d’écriture africaine en indiquant cette technique d’emprunt qui, de toute Ă©vidence, ne prĂ©sente pas une spĂ©cificitĂ© susceptible de lĂ©gitimer son proprium africanum ou, pour ĂȘtre plus prĂ©cis encore, sa nĂšgrĂ©itĂ©. Par consĂ©quent, c’est bien en raison de l’exclusion des Ă©critures empruntĂ©es Ă  d’autres civilisations que l’Afrique subsaharienne reste la terre de l’oralitĂ©. 2 Je reprends ici avec de lĂ©gĂšres modifications un extrait de “Gens de la parole”, gens du livre ou ... 5Mais cette spĂ©cificitĂ© africaine est toute relative car il n’est pas certain que l’aire occidentale, traditionnellement considĂ©rĂ©e comme une aire de l’écrit, ne soit pas marquĂ©e par l’oralitĂ©, y compris aujourd’hui encore. Il suffit d’observer nos comportements pour comprendre et admettre que cette pratique est toujours bien ancrĂ©e dans la civilisation de l’écrit. Si dans les dĂ©marches administratives, nous procĂ©dons par textes, le suivi des dossiers se fait souvent Ă  l’oral Ă  l’exception bien Ă©videmment des situations Ă  tendance conflictuelle. De mĂȘme, il est possible de soutenir que l’écrit n’est pas absolu- ment absent en Afrique noire. Outre les Ă©critures qui n’ont pas survĂ©cu Ă  l’ùre coloniale – notamment l’écriture bamoun, une invention du jeune bouillonnant et ambitieux sultan Njoya 1875-1933, basa, mende en Sierra Leone et au LibĂ©ria, vai en Sierra Leone, nsidibi au Nigeria oriental et vili dans les deux Congo et Ă  l’exception de l’écriture occidentale, l’Afrique est marquĂ©e par un systĂšme d’écriture non alphabĂ©tique dĂ©celable dans ses crĂ©ations plastiques. MalgrĂ© ces rĂ©serves, qui ne peuvent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es ici car ce n’est pas le lieu, l’opposition Ă©crit/oral apparaĂźt comme un marqueur rĂ©vĂ©lateur du rapport Afrique/Occident2. 6Ainsi, parler de l’oralitĂ© dans une journĂ©e d’étude consacrĂ©e Ă  la thĂ©ologie africaine dans un espace de l’écrit me conduit Ă  poser un questionnement sur la pertinence ou non de la thĂ©ologie dans les aires culturelles marquĂ©es par cette oralitĂ© dans la mesure oĂč cette thĂ©o- logie ne relĂšve pas des religions africaines. Comment ce qui est de l’ordre de l’écrit, ce qui relĂšve de l’étude de textes sacrĂ©s – mĂȘme si ces textes peuvent prĂ©senter une ouverture sur la pensĂ©e en gĂ©nĂ©ral –, peut-il s’appliquer Ă  un contexte oral qui, de surcroĂźt ignore lesdits textes ? Comment pratiquer cette Ă©tude ? En quoi la thĂ©ologie pratiquĂ©e serait-elle africaine ? Quelles pourraient ĂȘtre les adaptations possibles ? 7N’étant pas thĂ©ologien, je me garderai Ă©videmment de dĂ©ployer une Ă©tude thĂ©ologique ! Il s’agira plutĂŽt de dĂ©cliner plusieurs accep- tions possibles de la notion de parole Ă  partir de l’exemple d’une ethnie dĂ©terminĂ©e, les Dagara du Burkina Faso. L’enjeu est de montrer que cette notion, qui est un dĂ©terminant substantiel de l’oralitĂ©, prĂ©sente une valeur sociale. En tant que telle, elle contribue Ă  la structuration de la sociĂ©tĂ©. De ce fait, l’oralitĂ©, loin de constituer un obstacle, peut se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre un espace favorable Ă  une expression thĂ©ologique occidentale susceptible de s’enrichir de perspectives africaines. Pour cela, je commencerai par une dĂ©finition de la parole. Qu’est-ce que la parole ? 8La parole renvoie Ă  un acte, celui d’une Ă©mission de sons articulĂ©s signifiants. Ses sons qui sont variables font appel Ă  la bouche, Ă  la glotte, Ă  la langue au palais, de sorte que la parole en langue dagara, est d’abord rĂ©fĂ©rencĂ©e Ă  la bouche et Ă  la langue qui apparaissent comme les vecteurs privilĂ©giĂ©s. Selon l’expĂ©rience dagara, la coĂŻncidence sĂ©mantique entre bouche, langue et parole est si bien Ă©tablie que la conscience collective en vient Ă  ignorer l’importance du palais et de la glotte pour la production des sons mĂȘme si ces Ă©lĂ©ments sont pourtant convoquĂ©s. Le son produit est toujours perçu comme n’étant que le rĂ©sultat de l’action combinĂ©e de la bouche et de la langue. 9Aussi la parole yΔrυ en dagara dĂ©signe-t-elle de façon gĂ©nĂ©rale le langage articulĂ©. RapportĂ© Ă  la bouche, celui-ci se distingue des autres formes de langage. Dans ce contexte, la notion de parole en dagara porte le mĂȘme nom que la bouche nυor et la langue zΔl. Ainsi, lorsque le Dagara Ă©voque la parole de la bouche nυor yΔrυ, il Ă©nonce par la mĂȘme occasion la reconnaissance qu’il y a d’autres formes de paroles notamment non verbales qui sont, par exemple, les mimes ou encore des sons exprimĂ©s selon une articulation spĂ©cifique non accessible Ă  tous. C’est le cas de la musique et en l’occurrence celle du balafon. 10En effet, le balafon est dit avoir une bouche et une voix ; il parle donc ! Et, il parle si bien que les paroles Ă©noncĂ©es peuvent mettre en scĂšne les personnes suivant leur genre. C’est particuliĂšrement le cas des musiques funĂ©raires qui sont diffĂ©renciĂ©es selon que la personne dĂ©cĂ©dĂ©e est une femme ou un homme. Cependant, pour accĂ©der au signifiĂ© il est nĂ©cessaire de possĂ©der un code d’interprĂ©tation et il n’est pas donnĂ© Ă  tous de l’avoir. Outre le balafon – et cela vaut pour beau- coup d’autres populations africaines – le tam-tam est aussi un outil de communication non verbale. Ainsi de celui qui sonne le rassemblement du village des DiallobĂ©, ces Peuls Toucouleurs du Fouta-Djalon et que nous dĂ©crit Cheikh Hamidou Kane dans son roman, L’aventure ambiguĂ«. 11Si la parole est renvoyĂ©e Ă  la bouche, celle-ci, en tant que terme, comporte d’autres contenus sĂ©mantiques. En dagara, le mĂȘme terme qui dĂ©signe la bouche nυor, signifie par ailleurs rĂšgle, loi, vƓu, promesse, juron au sens fort dans son rapport au verbe jurer. Par ces catĂ©gories, la parole se conçoit comme une institution sociale. Aussi est-il important de savoir en faire usage. En tant qu’institution, elle a un rĂŽle de rĂ©gulation. La parole ne s’énonce pas indiffĂ©remment selon qu’on est jeune ou vieux, homme ou femme. Si le jeune est prolixe, voire volubile, le sage est toujours mesurĂ©. Du sage qui ne s’exprime pas convenablement, il sera dit de lui qu’il parle Ă  la maniĂšre d’un enfant υ yΔrΔ nĂŁ mέ bÎŻbÎŻlĂ© ĂĄ. Autrement, en tant que dĂ©tenteur du savoir, il connaĂźt la norme. Aussi parle-t-il peu et juste. Il sait quand parler et quand se taire. Dans ce cas, le silence en lui-mĂȘme devient une parole ou plus exactement une communication non verbale. La possession de la parole est donc un art car possĂ©der la parole c’est avoir le pouvoir de son contrĂŽle, c’est savoir en faire bon usage. Savoir parler, c’est donc savoir contrĂŽler sa bouche et sa langue, c’est- Ă -dire savoir observer le silence quand c’est nĂ©cessaire. L’observance mĂȘme du silence est une parole sans articulation. Par le silence, un interlocuteur dit Ă  son correspond qu’il ne peut et/ou ne doit parler. Mais dans le fond, l’impossibilitĂ© de parler est quand mĂȘme une parole. Le silence perçu comme absence de parole, voire de communication, c’est-Ă -dire un non-dire, comporte nĂ©anmoins et toujours un dire qui est certes le silence mais encore le refus de communiquer, de divulguer quelque chose, un refus qui est toujours une expression signifiante. Alors, la parole et la non-parole partagent une identitĂ©, celle de la communication d’un message. Sans avoir les mĂȘmes contenus, parole et silence ont une nature commune dans cette occurrence. 12La prise de prĂ©cautions par le vieux qui dispense ses mots avec parcimonie tĂ©moigne de ce que la parole engage son auteur, qui est responsable de ses propos. Alors la parole a Ă  voir avec la vĂ©ritĂ© comme conformitĂ© de ce qui est dit Ă  ce qui est. Mais cette parole qui engage et qui a rapport Ă  la vĂ©ritĂ© est une parole dans laquelle interviennent les anciens, et notamment les ancĂȘtres et les dieux. Cette parole dans laquelle l’acteur prend les ancĂȘtres Ă  tĂ©moin est engagement Ă  leur Ă©gard, voire engagement de sa vie. Cela s’appelle nυor, c’est-Ă -dire un vƓu ou plus exactement un vƓu impliquant une promesse. Et si cette parole engage son auteur, c’est parce que le vƓu est un pacte Ă©tabli entre l’auteur et une puissance invisible qui peut ĂȘtre l’ancĂȘtre ou tout autre entitĂ© divine. Dans ce pacte, celui qui fait le vƓu donne sa parole. Et en tant que parole donnĂ©e, elle Ă©nonce les termes du pacte. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, ces termes consistent en une demande faite Ă  la puissance ou Ă  l’ancĂȘtre. En contrepartie, le demandeur s’engage Ă  satisfaire la puissance par l’offrande d’un sacrifice. 3 M. PÈRE, Les Lobi. Tradition et changement. Burkina Faso, 2 tomes, Ă©ditions SiloĂ«, Laval, 1988, p. ... 13Le vƓu formulĂ© peut engager toute une collectivitĂ©. Ainsi, au dĂ©but du XXe siĂšcle, les Lobi, pour rĂ©sister Ă  la colonisation française, avaient posĂ© la bouche » de ne pas scolariser leurs enfants. La scolarisation des enfants Ă©tait pour eux le moyen absolu de la transformation de leur sociĂ©tĂ©. Aller Ă  l’école signifiait pour eux l’abandon des traditions, c’est-Ă -dire la voiex des ancĂȘtres. Alors en en appelant aux ancĂȘtres, ils jurĂšrent de ne pas inscrire les enfants Ă  l’école du blanc ». En raison de cette parole prononcĂ©e et donc de la promesse faite aux anciens de ne pas suivre la voie du blanc », la scolarisation du pays lobi fut trĂšs pĂ©nible pour l’administration coloniale. Bien entendu il existait des difficultĂ©s matĂ©rielles Ă©loignement des Ă©lĂšves, absence d’une cantine, mais il y avait surtout le respect de la parole donnĂ©e, c’est-Ă -dire la bouche des ancĂȘtres ». Pour respecter un tel engagement, les parents Ă©taient trĂšs rĂ©ticents Ă  envoyer leurs enfants Ă  l’école, au point d’en arriver Ă  les cacher. L’administration finit par user de la force pour obliger les parents Ă  conduire les enfants Ă  l’école. Qu’à cela ne tienne, les enfants iront Ă  l’école ! Mais rĂ©ussiront-ils ? En effet, les sages lobi comptaient sur l’action des ancĂȘtres pour l’échec de l’entreprise coloniale, Ă©chec qui devait contribuer Ă  la prĂ©servation de leur sociĂ©tĂ©. Et de fait, les Ă©checs scolaires furent nombreux ; ce qui voulait dire que le pacte Ă©tait aussi respectĂ© par les ancĂȘtres. Plus tard, avec le retour au village d’anciens combattants de la Seconde Guerre et le constat des changements dans le pays – peu nombreux sont les Lobi qui accĂ©daient Ă  des fonctions publiques dans leur propres villages – ils dĂ©cidĂšrent d’enlever la bouche », c’est-Ă -dire de modifier la parole ancestrale. Cela consista en un rituel demandant aux ancĂȘtres de consentir Ă  l’abandon de la conformation Ă  la premiĂšre parole, celle de ne pas soumettre les enfants Ă  l’instruction occidentale. La demande fut acceptĂ©e et modifia ainsi le comporte- ment de la population3. 14Qu’il s’agisse du vƓu, de la promesse ou du juron, la parole des anciens comme la parole aux anciens est sacrĂ©e. Impossible de transiger avec elle ; il faut s’y conformer. En outre, lorsqu’il s’agit de la parole aux ancĂȘtres, la non-conformation devient un dĂ©dit de soi- mĂȘme. Ainsi, la parole comme vƓu, promesse, rĂšgle ou loi est une parole qui engage et dans laquelle on s’engage. Cet engagement trouve son fondement dans la confiance totale faite Ă  la partie invisible des acteurs du pacte. Et que dĂ©signe cette confiance totale sinon la foi ? Au fond, le pacte ne vaut qu’à la faveur de cette foi qui anime l’homme qui se laisse guider par l’invisible. Sans ce dispositif, cet appareil de construction de la vĂ©ritĂ©, le pacte n’aurait pas de validitĂ©. En prenant les ancĂȘtres ou les dieux Ă  tĂ©moin, l’acteur dagara part du principe que ces ĂȘtres invisibles ne peuvent se tromper. De sorte que lorsque la demande humaine n’est pas satisfaite, l’échec est attribuĂ© au vivant qui de ce fait estime qu’il a fautĂ© et que la faute est Ă  l’origine de l’échec. Ce contexte social dagara, dans lequel se mĂȘlent sacrĂ© et profane, ne serait-il pas un espace propice Ă  une expĂ©rimentation de la thĂ©ologie occidentale ? Ne serait-il pas le lieu d’une recomposition de la thĂ©ologie occidentale ? 15Pour rĂ©pondre Ă  ce questionnement, il convient de partir d’une position officielle, celle de personnalitĂ©s de l’Église en Afrique. 4 GHAANÈ MÈDA B. J., Confession de foi Parole d’engagement pour le chrĂ©- tien Dagara. Essai thĂ©olog ... 16En effet, parmi ceux qui en Afrique sont les plus aptes Ă  parler de la thĂ©ologie africaine, les prĂȘtres, certains ont tendance Ă  subordonner la parole dagara Ă  celle de Dieu, une subordination dans laquelle ils expriment la primautĂ© de la parole divine sur celle des Dagara, les ancĂȘtres y compris. La parole dagara apparaĂźt alors comme Ă©tant une Ă©manation de la parole de Dieu. La parole du Dagara qui tient sa vie de Dieu n’est qu’une ombre de la parole de Dieu qui est crĂ©atrice4 ». 17Cependant, il y a mĂ©prise le rapport entre la parole divine et la parole dagara ne tient pas en une subordination ; il tient plutĂŽt dans la foi. Au fond, ce qui fonde la vĂ©ritĂ© de la parole dagara, notamment celle des ancĂȘtres, c’est la foi des acteurs pour qui cette parole se rĂ©alisera toujours ; aux Ă©noncĂ©s correspondront tĂŽt ou tard des actes. Si les effets attendus ne se manifestent pas, c’est le signe que l’homme a fautĂ© ; il n’a pas respectĂ© la loi prescrite. L’absence d’effets apparaĂźt alors comme une punition par quoi l’homme doit prendre conscience de son mauvais comporte- ment qui exige une expiation pour que soit restaurĂ© le contexte favorable Ă  l’émergence de la finalitĂ© attendue de la parole. Au fond, qu’il s’agisse de la parole divine ou de celle des Dagara, leur fondement est cette confiance absolue en la parole donnĂ©e ; il ne s’agit nullement d’avoir des preuves comme fondement de la vĂ©racitĂ©. Il faut y croire, avoir foi en l’advenir du bienfait et du bien-ĂȘtre promis en verbe. Au fond, il ne serait pas illĂ©gitime de soutenir qu’avant d’ĂȘtre une religion du Livre, le christianisme fut dans ses origines au moins, une religion de l’oralitĂ© Allez par- tout, portez la bonne nouvelle, portez la parole du Christ ». C’est donc bien de la parole qu’il s’agit. 18Alors, en guise de suspension, non de conclusion, de cette rĂ©flexion, je suis tentĂ© d’affirmer Ă  l’encontre du pĂšre Girault, auteur de LumiĂšre sur la Volta 1946, que les Dagara n’étaient pas des animistes monothĂ©istes mais qu’ils Ă©taient chrĂ©tiens avant le christianisme. Ou, pour le dire autrement, le christianisme comportait dĂ©jĂ  une dĂ©termination conforme Ă  l’ĂȘtre dagara, voire l’ĂȘtre africain. Au cours des quatre premiĂšres dĂ©cennies de l’instauration du christianisme en pays dagara 1930-1970, la messe n’était prononcĂ©e qu’en latin. À cette Ă©poque, l’engagement des dĂ©vots Ă©tait trĂšs ferme et trĂšs fort. Ils avaient foi en une parole qui leur Ă©tait pourtant sĂ©mantique- ment inaccessible. Mais au fond, Ă©tait-il important d’accĂ©der au sens ? Celui-ci n’était-il pas donnĂ© par le silence mĂȘme de la parole malgrĂ© des sons produits et ouĂŻs ! 19L’expĂ©rience a montrĂ© que lorsqu’on a commencĂ© Ă  traduire les textes sacrĂ©s en dagara et Ă  dire la messe dans la mĂȘme langue, il y eut comme un effondrement du mystĂšre qui fit baisser la ferveur des croyants, mĂȘme s’il est vrai que celle-ci demeure encore assez forte, y compris aujourd’hui encore, en comparaison de ce qu’on peut observer ailleurs, par exemple en Occident. Avoir foi en une parole exprime un engagement du sujet dans lequel la vĂ©ritĂ© du dire est acceptĂ©e comme allant de soi. En l’absence de cette acceptation ou en prĂ©sence d’une recherche de dĂ©monstration de la vĂ©ritĂ© du dire, il ne peut plus s’agir de foi. Foi et parole ont donc un rapport intime, Ă©tabli par l’engagement. De ce point de vue, Dagara, Africains et ChrĂ©tiens ont un dia- logue qui s’écrit Ă  partir de la parole Ă  condition d’éviter la pro- motion des subordinations. Si la parole dagara est soumise Ă  celle de Dieu, toute culture rĂ©ciproque entre Dagara et ChrĂ©tiens est impossible car il y a domination de l’une sur l’autre, des uns sur les autres, un espace dans lequel le dialogue devient Ă©videmment problĂ©matique. La fraternitĂ© est un espace de dĂ©couverte rĂ©ciproque, d’échange, de partage ; ce qui est bien Ă©videmment l’ex- pression d’une humilitĂ©. Si la domination devait intervenir, on serait alors dans un contexte de conflictualitĂ© ouverte, ce qui est contraire Ă  l’enseignement thĂ©ologique chrĂ©tien. Alors il est sans doute prĂ©fĂ©rable de cultiver le dialogue dans un monde dĂ©jĂ  si conflictuel qu’on en vient Ă  ignorer les espaces de dialogue qui Ă©mergent dans ce qui est dĂ©sormais dĂ©nommĂ© mondialisation, prĂ©sentĂ©e Ă  tort comme n’étant que le lieu des oppositions et des dominations. D’origine tunisienne, la fouta est aujourd’hui tantĂŽt un accessoire vestimentaire tantĂŽt un Ă©lĂ©ment de dĂ©coration intĂ©rieure. Cette grande Ă©toffe connaĂźt de nombreux usages et trouve toujours sa place dans une maison. ApprĂ©ciĂ©e pour la qualitĂ© de son tissu et pour ses utilisations multiples, la fouta est rapidement devenue un indispensable. Qu’est-ce qu’une fouta ? D’abord employĂ©e pour se sĂ©cher aprĂšs un passage au hammam, cette serviette raffinĂ©e a trouvĂ© d’autres usages fĂ©minins comme masculins. ComposĂ©e gĂ©nĂ©ralement Ă  100% de coton, la fouta se caractĂ©rise par les franges qui bordent les deux extrĂ©mitĂ©s du tissu. DiffusĂ©e par la suite dans le monde entier, elle se retrouve le plus souvent sur les bords de plage ou sur les femmes qui la portent Ă  la place du parĂ©o. Les diffĂ©rentes foutas Face au succĂšs croissant de cette piĂšce de tissu, les foutas se sont progressivement diversifiĂ©es. Couleurs Les coloris sont divers, la fouta traditionnelle est gĂ©nĂ©ralement rayĂ©e et teintĂ©e de deux couleurs. Cependant, certaines extravagances sont permises et il n’est pas rare de trouver des foutas multicolores ou unies. Taille Les tailles sont lĂ  aussi variĂ©es. Trois dimensions se distinguent 50 x 100 cm, 100 x 180 cm et 200 x 300 cm. En fonction de sa grandeur, la fouta habille tantĂŽt un canapĂ©, tantĂŽt une table. Type de tissu Concernant le type de tissu, la tradition veut que la fouta soit composĂ©e Ă  100% de coton. Toutefois, certaines d’entre elles se parent dĂ©licatement de lurex, un fil dorĂ© ou argentĂ© qui apporte un cĂŽtĂ© luxueux et Ă©lĂ©gant Ă  l’étoffe. D’autres foutas disposent de qualitĂ©s absorbantes, ce sont les foutas doublĂ©es Ă©ponge. Ces derniĂšres ont une face 100% coton et une autre face en Ă©ponge et servent de serviette de bain. Quels sont les diverses utilisations de la fouta ? À l’origine, la fouta Ă©tait principalement utilisĂ©e en tant que serviette. Cet usage n’est pas dĂ©modĂ© mais il n’est dĂ©sormais plus unique. Le caractĂšre pratique et chic de la fouta en fait un accessoire Ă  glisser partout. Dans la maison, cette grande Ă©toffe sert par exemple Ă  recouvrir un canapĂ©, elle ajoute alors une touche de couleur ou sert de couverture pour les soirĂ©es fraĂźches. Certaines personnes l’utilisent Ă©galement en rideau grĂące Ă  de petits crochets. Par nature lĂ©gĂšre, la fouta s’avĂšre idĂ©ale pour habiller simplement une fenĂȘtre. Également parfaite en jetĂ©e de lit, elle permet de cacher des draps dĂ©fraĂźchis, de rajouter une couche supplĂ©mentaire pour les nuits froides ou de faire un joli rappel de couleurs. La fouta fait Ă©galement office de nappe lorsque ses dimensions le permettent, son prix abordable, la simplicitĂ© de son entretien font d’elle une excellente alternative Ă  la nappe d’étĂ©. Pour habiller votre intĂ©rieur il existe des sites spĂ©cialisĂ©s dans ce domaine comme La fouta un vĂȘtement pratique Les femmes l’utilisent souvent en pareo Ă  la plage sur un maillot de bain et pour se promener. Les plus petits modĂšles servent Ă©galement de foulard ou de chĂąle. La multiplicitĂ© des coloris permet de changer rĂ©guliĂšrement de style sans se ruiner. Toujours utile et Ă©lĂ©gante, la fouta s’insĂšre facilement dans le quotidien. À la plage ou Ă  la maison, pour une ballade ou aprĂšs un bain, c’est toujours l’accessoire parfait ! Fouta, peshtemal, existe-t-il des diffĂ©rences entre les deux ? TrĂšs peu, et la diffĂ©rence principale se trouve dans le nom donnĂ©. Certains dĂ©tails diffĂšrent cependant. Origine gĂ©ographique La fouta est originaire du Maghreb et est particuliĂšrement utilisĂ©e en Tunisie. Le peshtemal appelĂ© peßtemal en turc, se prononce peshtĂ©mal est une serviette utilisĂ©e traditionnellement dans les hammams en Turquie, et dont l’origine remonte Ă  l’Anatolie au XIIIĂšme siĂšcle. Depuis des siĂšcles, la rĂ©gion de Denizli sur les bords de la mer EgĂ©e s’est spĂ©cialisĂ©e dans le tissage de ces serviettes. Utilisation Tout comme pour la fouta, l’utilisation du peshtemal s’est Ă©largie bien au-delĂ  du hammam et mĂȘme de la simple serviette. Les diffĂ©rences de tissage et d’épaisseur en font un produit polyvalent plaid, couverture, dessus de lit ou canapĂ©, nappe. Peshtemals et foutas vous accompagnent Ă  la plage, Ă  la maison, Ă  la salle de sport, ou encore dans votre valise. Tissage En coton tissĂ© ou cardĂ©, le tissage des peshtemals comme des foutas dĂ©pend des modĂšles et du design, avec aussi une variation selon les rĂ©gions en Turquie. Au vu de sa fonction premiĂšre comme serviette, ils sont tous absorbants et peuvent tout Ă  fait remplacer une serviette Ă©ponge. Certains modĂšles offrent d’ailleurs une face en coton tissĂ© et l’autre en Ă©ponge. QualitĂ© Conçus pour ĂȘtre durables, foutas et peshtemals vous accompagnent pendant des annĂ©es, sans perdre leurs couleurs, douceur et pouvoir absorbant. Ils sont adaptĂ©s Ă  toute la famille. Les peshtemals Maison Oda Avant de crĂ©er Maison Oda, nous avons visitĂ© plusieurs ateliers et rencontrĂ© plusieurs producteurs en Turquie pour trouver les peshtemals que nous aimons de qualitĂ©, Ă©coresponsables, 100% coton, et bien sĂ»r esthĂ©tiques. Retrouvez toute la collection ici. Comme nous l’avions dĂ©jĂ  prĂ©cisĂ©, nous sommes partis Ă  la recherche de LA fouta de qualitĂ© ! La fouta est un produit originaire d’Inde mais qui a surtout connu son plus gros dĂ©veloppement en Tunisie, c’est pour cela que tout naturellement c’est vers la Tunisie que nous nous sommes tournĂ©s pour vous dĂ©nicher de jolies pĂ©pites ! La fouta Ă©tait principalement utilisĂ©e comme serviette traditionnelle dans les saunas et les hammams. Depuis, la fouta est devenu l’accessoire indispensable de l’étĂ© sur les plages, autour de la piscine et mĂȘme dans nos salles de bain tout au long de l’annĂ©e. Ce qui plait le plus chez la fouta c’est sa lĂ©gĂšretĂ©, le fait qu’elle soit trĂšs grande mais surtout qu’elle sĂšche trĂšs vite ce qui est donc bien pratique au moment de la ranger aprĂšs la baignade ! Tendance pourrait ĂȘtre l’adjectif qui rĂ©sume le mieux la fouta. Vous pourrez retrouvez une large gamme sur notre site avec des couleurs acidulĂ©es, flashis, trĂšs estivales mais aussi plus sobres, d’autres avec des rayures qui conviennent parfaitement tout au long de l’annĂ©e. Les franges de la fouta sont l’une des caractĂ©ristiques qui en font un produit trĂšs artisanal et trĂšs atypique. D’ailleurs, Tous les modĂšles de foutas proposĂ©s sur notre shop sont en coton 100% recyclĂ©, elles sont tissĂ©es Ă  la main dans des ateliers Tunisiens en qui nous avons 100% confiance et sont ensuite transportĂ©es au domicile d’artisanes qui nouent elles-mĂȘmes les franges de la fouta. Une fois de plus c’est dans la fouta personnalisĂ©e que nous souhaitons nous spĂ©cialiser ! Nous, ce qui nous fait le plus plaisir et ce qui nous anime le plus c’est de rendre de beaux produits encore plus uniques grĂące Ă  la broderie. Comment lave t-on une fouta ? 30° avant la premiĂšre utilisation Vous pouvez la mĂ©langer avec votre linge de maison car les foutas ne dĂ©teignent pas Comme pour beaucoup d’articles artisanaux, il est prĂ©fĂ©rable de continuer le linge Ă  30° et laisser sĂ©cher Ă  l’air libre 21 fĂ©vrier, 2022 — RĂ©f 49046 Responsable Coton Drap-housse Unis Responsable Coton cafe kaki rose blush terracotta coquelicot gris perle blanc marine emeraude lin lagon violette cobalt malachite rose indien bleu ocean airelle dragee ivoire miel canard pur violet topaze corail etain bois de rose vert nil Veuillez choisir une couleur 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cm 2 personnes - 140cm x 190cm 2 personnes - 160cm x 200cm 2 personnes - 180cm x 200cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cm 1 personne - 90cm x 190cmBonnet 25 cm 2 personnes - 140cm x 190cmBonnet 25 cm Drap-housse tĂȘte et pied relevables 2 x 80 x 200Bonnet 25 cm 1 personne - 90cm x 190cmBonnet 28 cm 2 personnes - 140cm x 190cmBonnet 28 cm 2 personnes - 160cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - 180cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cmBonnet 28 cm 1 personne - 90cm x 190cmBonnet 25 cm 1 personne - 90cm x 190cmBonnet 28 cm 2 personnes - 140cm x 190cmBonnet 28 cm 2 personnes - 160cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - 180cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - 160cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - 180cm x 200cmBonnet 28 cm 1 personne - 90cm x 190cmBonnet 25 cm 2 personnes - 140cm x 190cmBonnet 25 cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cmBonnet 28 cm 1 personne - 90cm x 190cmBonnet 28 cm 2 personnes - 160cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - sommier articulĂ© 2 x 80cm x 200cmBonnet 28 cm 2 personnes - 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200cm x 200cm 2 personnes - 240cm x 220cm 2 personnes - 260cm x 240cm Ajouter au panier Unis Drap Veuillez choisir une couleur 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 300cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 300cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm 1 personne - 180cm x 290cm 2 personnes - 240cm x 290cm Ajouter au panier Unis Taie d'oreiller Veuillez choisir une couleur CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm Rectangulaire - 50cm x 70cm CarrĂ©e - 63cm x 63cm Rectangulaire - 50cm x 70cm Ajouter au panier Unis Taie de traversin Veuillez choisir une couleur Ajouter au panier Unis La douceur du coton et la praticitĂ© d’une couette bicolore rĂ©versible craquez pour cette collection de linge de lit uni ! Le plus dur sera de faire un choix parmi tous les coloris disponibles. Amusez-vous Ă  mĂ©langer les couleurs pour chaque Ă©lĂ©ment de cette parure de lit pour obtenir une dĂ©coration unique et chaleureuse. À utiliser aussi en Mix & Match avec une collection Ă  motifs pour plus de fantaisie ! Un produit sain et responsable Chez Françoise Saget, prendre soin de vous au quotidien est notre prioritĂ©. C’est pourquoi, nos produits certifiĂ©s Standard 100 by Oeko-Tex sont l’assurance de textiles sains et inoffensifs au contact de la peau. MatiĂšres premiĂšres, fils, teinture... Suite Ă  de nombreux tests rĂ©pondant Ă  un cahier des charges trĂšs strict, ce label indĂ©pendant certifie l’absence de substances chimiques nocives, dans les seuils pouvant nuire Ă  la santĂ©, Ă  chaque Ă©tape de la fabrication des produits. Certification Standard 100 by Oeko-Tex - Confidence in Textiles - CQ 1180/1 IFTH Les avis de nos clients

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